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Mairie de Fumel
Place du Château
47500 Fumel

Horaires d’ouverture : 
Du lundi au Jeudi : de 8 h 30 à 12h et de 13h30  à 17 h 30
Le vendredi : de 8 h 30 à 12h et de 13h30 à à 16 h 30

Tél : 05 53 49 59 69

Mél  : accueil@mairiefumel.fr

Fumel trône au sommet d’une butte rocheuse et surplombe le Lot. Elle est au carrefour de l’Agenais, du Périgord et du Quercy. Avec ses 5200 habitants, Fumel est la ville centrale de Fumel-Communauté et le chef lieu du Canton.

Si le Château de Fumel ressemble aujourd’hui à une villa italienne, il n’en a pas toujours été ainsi.Alors que la famille de Fumel est mentionnée dès le 11e siècle, la première trace écrite du castrum ne remonte qu’au 13e siècle. Cependant, selon l’étude menée par G. Séraphin, une tour quadrangulaire trônait déjà sur le socle rocheux au 12e siècle.

Primitivement le Château comporte 6 tours : 4 rondes et 2 carrées. La porte principale s’ouvrait du côté de la ville. Elle était percée dans un mur reliant les deux grosses tours rondes et était gardée par un pont-levis.

Plan du Château d’après un document du 16e siècle.

Pendant la « Guerre de Cent ans », le château médiéval est très endommagé. Il est remanié durant la 2emoitié du 15e siècle par Bernard de Fumel qui obtient l’autorisation de le fortifier.  Durant le 3e quart du 16e siècle, François de Fumel entreprend sa réorganisation en H autour de 2 cours en terrasse. Les travaux sont interrompus après son assassinat en 1561. L’importante bâtisse du 16e siècle est radicalement modifiée et mise au goût du jour seconde moitié du 17e et du 18e. L’édifice seigneurial se transforme en demeure aristocratique : aménagement des terrasses qui surplombent le Lot, le château prend la forme d’un U. La silhouette du château est définitivement modifiée lorsqu’en 1973, l’ordre est donné de raser les tours à la hauteur du logis. Leurs pierres serviront à la construction de maisons sur la promenade.

La famille des Fumel posséde le château le château du 11e au 19e siècle où il passe, par mariage, à la famille des Langsdorff. Cette famille le vend à la commune de Fumel en 1950, qui y installe la Mairie.  Les visiteurs sont les bienvenus dans les jardins et sur les terrasses du Château, donnant une vue imprenable sur le Lot et le théâtre de la Nature.Son cadre de vie agréable et protégé a depuis toujours attiré l’Homme. Ainsi, les racines de Fumel se mêlent à celle de l’humanité. Fumel a su garder les témoignages de ces ancêtres et des époques. Elle les arbore fièrement et sait les prêter, le temps d’une ballade, aux visiteurs et aux curieux.


De la préhistoire au Moyen âge

La région du Fumélois, en particulier la vallée de la Lémance et de Briolance, a su attirer les Hommes depuis les temps les plus reculés. En témoigne la découverte à Libos (commune limitrophe) d’un squelette humain fossile de l’époque Aurignacienne, soit d’environ 30 000 ans.

En 1923, l’archéologue Laurent Coulonges découvre le site du Martinet à Sauveterre-la-Lémance, commune de Fumel-Communauté. Il met à jour l’existence d’une culture préhistorique particulière entre le paléolithique et le néolithique. Il lui donnera le nom de « Sauveterrien » (de 8000 à 5000 avt JC).

Cette profusion de vie ne doit rien au hasard. Autour de Fumel, trois vallées facilitent au cours des âges la migration des peuples. Mais si elle a amené la vie, cette convergence sera aussi à l’origine de tensions.

Lorsque l’Homme se sédentarise et plus tard commence à bâtir, Fumel apparaît naturellement comme un lieu stratégique. Les tours de guet et les donjons sont construits en grand nombre dans toute la région, la pierre de tailles s’y trouvant en grandes quantités.


 

Du Moyen âge à la Renaissance

Les premières traces écrites de l’histoire de Fumel remontent au XIème siècle. Elles y relatent l’existence de hauts et puissants barons et du château de Fumel, qui dès l’origine commande le passage du Lot. Le bourg castral est rattaché à la paroisse Saint-Hippolyte-de-Condat. Il est éloigné d’environ 1,5km de l’église et de son cimetière, selon un schéma classique de cette époque en Agenais.

La baronnie de Fumello a pour devise « Une seule Foi, une seule Loi, un seul Amour ». Son importance est formulée  par O’Gilvy dans son Nobiliaire de Guyenne et Gascogne : « par son ancienneté, par ses alliances, par les emplois distingués que, de tout temps, ses membres ont occupé, est non seulement une des premières de Guienne, mais même l’une des plus illustres de France ».
La guerre de cent ans vient troubler cette prospérité. Le conflit entre le royaume de France et celui d’Angleterre prend en partie ses sources du mariage d’Eléonore d’Aquitaine avec Henri Plantagenet en 1152 qui devient roi d’Angleterre en 1154. L’Aquitaine, et donc l’Agenais, est dès lors disputée par les deux royaumes, du fait de la richesse de la région.Fumel est alors une ville prospère dont l’économie, les droits et la morale sont régis par une charte de franchises et de coutumes dès 1265. Elle fixe les rapports entre Seigneur et population.

Entre 1414 et 1442, Fumel passe alternativement des Anglais aux Français. Chaque fois, le château et les Fumélois en subissent les conséquences. Le château de Fumel ne se relève de ses ruines que vers 1468.


De la Renaissance à la Révolution française

Au 16e siècle, la France est déchirée par une guerre qui oppose catholiques et protestants. Fumel n’est pas épargnée.

François Ier de Fumel, ardent catholique, en paiera le prix fort.

Alors qu’il revient de la chasse à Bonaguil le 23 novembre 1561, il rencontre des protestants sortant du prêche à Condat. Il lance son cheval au milieu d’eux, en frappe et en maltraite plusieurs. Les protestants résistent et le poursuivent jusqu’au château qu’ils assiègent.
François de Fumel est blessé d’un coup d’arquebuse, tiré du grenier d’une maison voisine. La panique que cela suscite entraine la chute des défenses du château. Les assaillants s’emparent du Seigneur et le torturent avant de lui trancher la tête en présence de son plus jeune fils et de sa femme. Celle-ci sera tenue prisonnière au château pendant deux mois.

La reine Catherine de Médicis, vivement affligée par l’assassinat de François de Fumel, envoie Blaise de Montluc, dit « le Boucher Royaliste » ou « Montluc le Rouge », sur les lieux. Il y exerce de terribles représailles et retire à la population ses privilèges en abrogeant la charte de franchises et de coutumes. Dorénavant, le Seigneur aura les pleins pouvoirs.

La ville est réduite aux limites de sa vieille enceinte. Ses maisons sont abattues jusqu’au premier étage et ne peuvent plus s’élever sauf accord du Seigneur. Ces mesures portent un grand coup à la cité et la régiront jusqu’en 1789.


De la Révolution française à 1847

La proclamation de la République entraîne la démolition des tours du château de Fumel. En 1793, ses archives et tous les symboles de la féodalité sont brûlés sur la place publique : écussons, couronnes, portraits de famille, de Louis XIV …

La ville est à nouveau libre de se développer après plus de deux cent ans de mesures draconiennes.

Fumel prend une importance administrative dès 1790 en devenant le chef lieu du canton. Entre 1806 et 1834, sa population double pour atteindre les 2348 habitants. Le commerce se développe grâce à ses trois ports : le port du Passage au Sud Ouest, celui de Libos à l’ouest et le port de Condat à l’est.

Le papier fabriqué dans les papeteries de la Lède, de la Lémance et de la Thèze est expédié par voie fluviale vers Bordeaux. C’est également le cas de la production des forges établies dans la vallée et de la pierre provenant des carrières de Condat.

Un pont suspendu remplace le bac à partir de 1845 pour relier Fumel à Montayral.


De l’usine à nos jours

L’usine s’installe à Fumel en 1847, pour différentes raisons.

D’abord, la tradition métallurgique et artisanale de la vallée de la Lémance assure une forte présence de main d’oeuvre. Ensuite, on trouve beaucoup de minerai de fer dans un périmètre de 20km autour de Fumel, ainsi que de la castine. Le Lot y est également pour beaucoup : il permettra à l’usine non seulement d’importer les matières premières et d’exporter les produits finis, mais aussi de refroidir les machines et, plus tard, de produire sa propre électricité.

 

L’usine est tout d’abord destinée à fabriquer les coussinets de voie ferrée (pièce qui fixe le rail au sol) avec de la fonte de première fusion.

Elle devient peu à peu l’ « usine des tuyaux », surnom du à la fabrication de conduits d’eau potable. Pourtant, au début du 20ème siècle, sa production est très diversifiée : plaques

d’égout, bornes fontaines (dont certaines pour Paris), candélabres, escaliers en fonte, poids à peser, altères …

Pendant la première guerre mondiale, faute de main d’oeuvre, les « munitionnettes » apparaissent au côté des hommes pour la fabrication de milliers d’obus qui iront alimenter le front. 2500 obus quittent chaque jour l’usine de Fumel.
Pendant plus d’un siècle, la vie de Fumel s’organise autour de cette usine. Ses effectifs approchent vers 1970 les 3000 travailleurs. Ce besoin accru de main d’oeuvre a attiré de nombreux étrangers. En 1948, sur les 5500 habitants de Fumel, 600 sont espagnols, 200 polonais, 180 portugais et 150 italiens.

L’usine crée son propre Centre d’Apprentissage d’un excellent niveau de qualification. La Société Minière et Métallurgique du Périgord (SMMP) offre à la ville son premier équipement de loisir, un kiosque de musique implanté derrière l’église. Il est inauguré en 1902 à l’occasion de la fête donnée en l’honneur de l’arrivée de l’éclairage électrique.

En 1942, la direction de l’usine, qui dépend désormais de Pont-à-Mousson, équipe l’agglomération fuméloise du premier complexe sportif du département : le stade Henri Cavaillé. Il sera vendu à la municipalité en 1990.

En 1988, l’usine devient la Société Aquitaine de Fonderie Automobile (SADEFA) avant de devenir Métaltemple Aquitaine en 2009.

L’usine compte aujourd’hui 250 salariés. Elle ouvre ponctuellement ses portes aux visiteurs pour faire découvrir la Machine de Watt. Cette immense soufflerie du XIXème siècle fonctionnant à la vapeur alimentait le haut fourneau.

 Revue de Presse

Office de Tourisme : le guide découverte 2016 est arrivé

Le guide 2016 a été présenté en premier lieu aux responsables locaux du tourisme./Photo DDM.

Mardi 2 février les membres du comité de direction de l’office de tourisme Fumel-Vallée du Lot ont eu le plaisir de feuilleter, en «avant-première», le guide découverte 2016.

Pour la deuxième année de petits témoignages, disséminés dans le guide, montrent comment des visiteurs du territoire sont devenus des résidents… voire des professionnels du tourisme local. Ce qui a inspiré le slogan «Visitez ! Vous allez rester.» La principale nouveauté est le regroupement de toutes les informations en un seul beau livret de 130 pages : hébergements, visites, dégustations, activités… Le format reste adapté à un sac à main ; la couverture a été travaillée pour illustrer douceur, patrimoine, slow tourisme ; l’accès reste facilité par le téléchargement possible sur www.tourisme-fumel.com. Cette année l’équipe de l’office a ajouté deux nouveaux plans pour visiter librement le bourg de Monsempron et le village de Bonaguil. Janouille fait son apparition avec des prestations estivales qui seront à ne manquer sous aucun prétexte… en tournonnais. Certaines thématiques bénéficient d’une offre qui se développe : la pêche avec de nouveaux hébergements labellisés, le cyclotourisme avec la véloroute de la vallée du Lot, le pique-nique avec de nouveaux lieux aménagés, notamment près de l’ancienne gare de Fumel… L’assiette de Pays reste une valeur sûre, la page qui lui est dédiée démontre la qualité des productions et restaurateurs locaux.Tous les Lot-et-Garonnais sont invités à venir chercher ce guide pratique à l’office de tourisme de Fumel, place Georges Escande. Ce livret pourra vous accompagner tout au long de l’année pour vos visites ou celles des amis et clients que vous recevrez.

Belle cérémonie pour les Trophées du sport

Un trophée spécial a été remis à Rufino Pineda (2e en partant de la droite) par J.-J. Brouillet./Photo DDM, M. R.

C’est dans un centre culturel quasiment plein que s’est déroulée cette cérémonie des Trophées du sport 2016 de Fumel communauté, animée par Pierre Sicaud et dont l’invité d’honneur était Hugues Miorin, enfant du pays et international du Stade Toulousain. On notait la présence de J.-L. Costes, député, maire de Fumel, et de nombreux élus du territoire.

Christian Saint-Béat, vice-président de Fumel communauté, chargé de la jeunesse et de la santé, remerciait tout d’abord les entreprises privées qui ont accepté de soutenir les clubs sportifs qui œuvrent sur notre territoire et qui ont directement participé à cette soirée. Il ajoutait : «Nous sommes ici, ce soir, pour mettre à l’honneur les performances réalisées, bien sûr, mais également pour réunir la famille sportive de Fumel communauté et mettre en lumière l’aspect humain, dépassant le cadre de la seule compétition, qui donne au sport toute sa dimension».

Honneur à Rufino Pineda

Cette année, le jury a souhaité mettre à l’honneur un personnage qui a marqué le sport de notre territoire. Il a décidé de remercier et honorer Rufino Pineda pour le travail qu’il a réalisé tout au long de sa carrière d’entraîneur au Boxing-Club Fumel-Libos. En effet, pendant des décennies, Rufino Pineda a consacré tout son temps libre aux adeptes du «noble art», quels qu’ils soient. Mais il convient cependant de rappeler les résultats obtenus au plus haut niveau, qui ont fait de lui un entraîneur reconnu. Ce personnage du sport local a permis aux boxeurs fumélois d’obtenir plusieurs titres de champions de France, deux titres de champions d’Europe avec Saïd Skouma et deux participations au championnat du monde toujours avec Saïd Skouma. Son palmarès d’entraîneur est également riche de multiples titres de champions d’Aquitaine.

La cérémonie se poursuivait par un hommage à différents bénévoles, entraîneurs et dirigeants des clubs du territoire. On abordait ensuite le palmarès sportif proprement dit…

Mais à qui appartient vraiment la machine de Watt ?

Le liquidateur de MTA et Fumel communauté se disputent sa propriété./Photo DDM archives

C’est un imbroglio qui dure depuis près d’un an et qui pourrait connaître une issue prochaine. Avec une première étape mardi prochain 16 février devant le tribunal de grande instance d’Agen. La juridiction lot-et-garonnaise examinera en effet à l’audience de 9 heures une procédure dite de référé expertise, demandée par Fumel communauté. Objet de la demande ? Déterminer le propriétaire de la fameuse machine de Watt, du nom de cette imposante soufflerie du XIXe siècle, qui, à l’époque, alimentait le haut-fourneau dans lequel le minerai était fondu. Héritage d’un passé révolu, la machine de Watt de Fumel est l’une de deux seules encore en état de fonctionner dans le monde. Bien.

La machine de Watt est arrivée sous les feux de l’actualité et sur le tapis des négociations l’an passé, en plein plan de sauvegarde de l’emploi (PSE) suite à la liquidation de Métal Temple Aquitaine. Les métallos, syndicats CGT et CFDT en tête, revendiquant alors ce patrimoine comme étant le leur, celui des ouvriers de l’usine, ils proposent que la machine soit vendue à la région Aquitaine et que l’argent soit reversé au pot du PSE pour améliorer les conditions de départs des salariés licenciés. Après plusieurs mois d’atermoiements, la région notifie par écrit son refus de se porter acquéreur de ladite machine de Watt.

«Elle est à nous, comme les murs»

Sollicitée à son tour, Fumel communauté refuse également d’acheter la «machine bâtiment» : «On ne va pas payer pour quelque chose qui nous appartient». À l’automne 2015, un débat au sein du conseil communautaire envisage déjà de demander un référé expertise à la justice pour trancher le problème de propriété.

Fumel communauté, propriétaire des murs de l’usine depuis 2010, la revendique : «Nous considérons que la machine, comme les murs de l’usine, est propriété de Fumel communauté», explique Clémence Robert-Brandolin, directrice générale des services de la collectivité. «Cette machine est classée et inaliénable. Nous souhaitons la valoriser au titre du patrimoine industriel et culturel local».

Une démarche contestée par le liquidateur de Métal Temple Aquitaine, Me Jean-Claude Clanet : «Cette machine comme tous les matériels de l’usine de Fumel a été propriété de tous les exploitants qui se sont succédé. Elle a été cédée au final à l’exploitant actuel (Métal Aquitaine) dans le cadre de la liquidation judiciaire de la société Métal Temple Aquitaine. Compte tenu de l’insuffisance de moyens de la liquidation judiciaire pour assurer le financement du plan social consécutif au licenciement d’un nombre important de salariés, la société Métal Aquitaine a accepté de restituer cette machine à la liquidation de façon à ce que son prix de cession permette ce financement. La demande en justice de Fumel Communauté est donc intempestive du point de vue juridique et dramatique du point de vue social.» Ambiance.

Reste que même si le liquidateur obtenait gain de cause, on voit mal comment en l’état la machine pourrait servir à qui que ce soit : elle ne rapportera de l’argent qu’à condition d’être vendue. Et personne n’est acheteur.

En attendant les premiers éléments de réponse le 16 au tribunal, la machine de Watt, elle, ne se visite plus.

Conseil communautaire : le mariage avec Penne avalisé

Penne-d'Agenais : une belle fiancée pour Fumel Communauté./Photo DDM repro

Lors de cette dernière réunion de l’année du conseil communautaire, le premier sujet abordé, et non le moindre, a été le regroupement des communautés de communes de Fumel et de Penne-d’Agenais voté par nos voisins la semaine dernière.

J.-L. Costes expliquait le choix de la CCPA (Communauté de communes de Penne-d’Agenais) et énumérait les avantages de ce mariage pour Fumel Communauté :

«Un renforcement de l’activité et donc de la présence du Trésor public, amélioration de la puissance budgétaire de la nouvelle entité et la CCPA a une fiscalité plus dynamique que la nôtre en raison de sa proximité avec Villeneuve-sur-Lot».

Des représentants des communes de Montayral, Saint-Vite et Blanquefort indiquaient que leur conseil municipal avait émis un avis défavorable à cette fusion soulignant que Penne ne faisait pas partie du bassin de vie du Fumélois et vivait plutôt dans l’orbite villeneuvoise. Réponse de J.-L. Costes : «C’est Penne qui, après études et réflexion, a choisi de se rapprocher de nous plutôt que d’une autre communauté de communes. Ce choix a été avalisé par le préfet».

Un conseiller se demandait ce qu’il pouvait y avoir en commun entre Fumel et Penne. J.-J. Brouillet lui répondait : «Comme dans tout mariage arrangé, les époux ne se choisissent pas. Mais allons de l’avant ! Des groupes de travail ont été mis en place pour créer des projets communs. On a un an pour travailler ensemble et préparer la fusion».

Le projet était finalement adopté par le conseil : 29 voix pour, 12 contre et 1 abstention. La nouvelle communauté comportera 27 communes et regroupera près de 25 000 habitants.

Dans la foulée était votée la dissolution du Syndicat intercommunal des sports qui regroupait Fumel et Monsempron-Libos et il était décidé de transférer les compétences du Syndicat pour l’aménagement des versants de la Léman ce et la gestion des bassins et de la Thèze à Fumel Communauté.

Découvrez les décors de Noël

 
Blanche Neige et deux des 7 nains vous attendent sous les galeries du château./Photo DDM, M. R.

Comme chacun a pu le remarquer, les fêtes de fin d’année approchent et à Fumel comme dans la plupart des villes, on a installé des décors de circonstances. Cette année, le thème retenu pour les décors de Noël installés sous les arcades du château est «Blanche Neige et les 7 nains». Tout au bout d’un sentier qui se faufile au milieu des arbres, vous pourrez découvrir Blanche Neige qui vous attend devant sa chaumière. Branchages, mousse et feuilles, ainsi que la maison de Blanche Neige ont été mis en place par une poignée d’élus et les agents des services techniques de la mairie. Le fil rouge de toutes les décorations installées dans la ville, c’est les pommes que l’on retrouve partout. Trois sapins décorés de pompons rouges et de pommes viennent compléter cette décoration : un sur la place de l’Olivier, un second face à la place Voltaire et un troisième à Condat. Les pompons et les pommes ont été réalisés par les enfants des écoles de Fumel dans le cadre des TAP (temps d’activités périscolaires) avec l’aide des aînés du foyer du 3e âge. Les décors se visitent aux heures d’ouverture des jardins de la mairie tout au long du mois de décembre. N’oubliez pas d’aller jeter un coup d’œil à la décoration du grand escalier intérieur où trônait autrefois une tête d’éléphant. Ajoutons que c‘est l’entreprise locale Horti Fumel qui a réalisé le givrage de la forêt. Rappelons que le Noël des enfants aura lieu le samedi 12 décembre.


«Dimanche Théâtre» avec le Théâtre du Baroud

 Sylvie Fumex, comédienne professionnelle, joue régulièrement et met aussi en scène./Photo DDM. Marie-Paule Rabez.

Huit «Dimanche Théâtre» de novembre 2015 à juin 2016 sont programmés avec Sylvie Fumex qui sera aux commandes les 22 novembre, 13 décembre, 10 janvier, 7 février, 6 mars, 3 avril, 29 mai et 19 juin, de 10 heures à 17h 30, en la salle des Consuls, une journée pour un travail en profondeur. C’est ouvert à tous les adultes et jeunes à partir de 16 ans qui souhaitent découvrir le théâtre, s‘amuser, dire, rêver, apprendre, aux personnes ayant déjà connu les joies de la scène et à celles qui veulent les découvrir. Les techniques enseignées au fil des rencontres «Dimanche Théâtre», au travers d’exercices individuels et collectifs, feront appel à la réactivité, la spontanéité, la créativité, la disponibilité aux émotions, à l’imaginaire, à l’écoute… Elles demanderont aux participants un maximum de lâcher prise, beaucoup de générosité, d’accepter de prendre des risques sur scène et de se rendre disponibles aux autres. Pour tous renseignements et inscriptions, contactez directement Sylvie Fumex au 06 63 16 21 98 ou envoyez un courriel à theatredubaroud@gmail.com

 Le château de Bonaguil qu'il n'est plus besoin de présenter/ Photo DDM.

À l’occasion des journées européennes du Patrimoine qui se déroulent ce week-end, de nombreuses animations sont prévues sur l’ensemble de Fumel-Vallée du lot.

Condezaygues : Visite de l’église communale.

Fumel : Promenades à bord de la gabarre fuméloise en langue française et néerlandaise, visite du musée de la Cayenne.

Montayral : Parcours découverte botanique, visite commentée par un passionné de botanique. Rendez-vous à 8 h 30 jusqu’à 12 h 30.

Saint-Front-sur-Lémance : Visite du château de Bonaguil. Une balade contée et musicale est organisée ce soir à 20 h 30 ; visite de l’église de Lastreilles ; visite de l’église du Bourg, visite du musée d’histoires et figurines.

Saint-Vite : Parc du château des Rochers.

Sauveterre-La-Lémance : Visite guidée du musée de Préhistoire avec une exposition temporaire «Sauveterre — Au cœur des débats préhistoriques» le dimanche 20 septembre à 14 h 30.

Tournon-d’Agenais : Visite de l’église Saint-André-de-Carabaisses.

L’association Val Lémance propose 2 circuits pour partir découvrir le patrimoine de la vallée de la Lémance.

Loisirs en fête : une réussite malgré la pluie

L'association Dyspraxique Mais Fantastique 47 (DMF47) a sensibilisé le public à ce trouble développemental peu connu.

Loisirs en fête a eu lieu le samedi 12 septembre, au parc des sports Henri-Cavallier, toute la journée.

Plus de 45 associations ont répondu présent malgré les mauvaises prévisions météorologiques. Elles se sont adaptées afin de satisfaire le public : les démonstrations de danse ont eu lieu dans la salle ménagère au lieu de la scène prévue à l’extérieur et certaines activités ont dû être annulées ou déplacées en raison de la pluie le matin et des flaques l’après-midi.

Si le public n’était pas au rendez-vous le matin, l’après-midi plus clément a permis à de nombreuses familles de découvrir les activités proposées. Plus de 70 enfants ont ainsi participé au parcours de découverte mis en place par la mairie et sont repartis avec leur médaille.

Cette année, quelques associations du territoire avaient décidé de rejoindre Loisirs en fête pour la première fois. C’est le cas notamment de l’association Dyspraxique Mais Fantastique 47 (DMF47) qui a pu sensibiliser le public à ce trouble développemental peu connu.Les personnes n’ayant pas pu se rendre à Loisirs en fête peuvent télécharger le guide des associations sur le site de la mairie de Fumel. Celui-ci regroupe les contacts des associations fuméloises sportives, culturelles, mais aussi caritatives, d’anciens combattants.

DE LA MAGIE, DU THÉÂTRE…, UNE BELLE SAISON VA DÉBUTER

«Les pieds tanqués» , où quand une véritable partie de pétanque se transforme en pièce de théâtre./Photo DDM

C’est hier soir que la saison culturelle mise en place par Fumel-Communauté a été dévoilée : une saison de spectacles vivants s’étendra du 9 octobre au 27 mai 2016 ; 12 spectacles pour tous déclinés en théâtre, cirque, humour, chanson, danse… avec des artistes d’ici et d’ailleurs, neuf spectacles au centre culturel, un à Saint-Front-sur-Lémance, un autre sous le boulodrome couvert de Fumel et enfin un à Anglars-Juillac, ceci à l’invitation de la communauté de communes de la vallée du Lot et du Vignoble. Des places vont s’échelonner de 4 € à 13 €, ainsi que la possibilité d’acquérir une carte d’abonnement et de réduction : le pass-curieux, et un forfait famille.

Au niveau du rayonnement au sein de la communauté de communes, 1200 élèves assisteront à des séances scolaires et 39 classes sont inscrites sur des parcours qui leur permettront de bénéficier d’interventions d’artistes en temps scolaire en lien avec ces spectacles, 275 heures d’ateliers sont prévues. 400 élèves assisteront à la représentation «Le journal de Grosse Patate» de Dominique Richard.

Ouverture de la billetterie aujourd’hui à partir de 14 heures, à l’Office de tourisme Fumel Vallée du Lot : 05 53 71 13 70. Plus de renseignements sur le site internet : www.spectacles-fumelcommunaute.com

LES VÉNUS DE GHISLAIN GALLERNEAU À BONAGUIL

L'artiste présentera une dizaine de sculptures, «le résultat de 2 années de travail»./Photo Ghislain Gallerneau.

Jusqu’au 27 septembre, le monde minéral de Bonaguil accueille dans ses murs les sculptures de pierre de Ghislain Gallerneau. «La rencontre de 2 univers de pierres, celles taillées du château comme écrin, celles trouvées dans la nature et sculptées comme bijoux. C’est cette forme de discussion qui se crée entre le lieu et les œuvres qui fait évoluer mon travail, la perception que je peux en avoir, mais aussi la perception du public» commente l’artiste. La démarche de Ghislain Gallerneau est originale et ses Venus ne le sont pas moins. «J’ai une formation de tailleur de pierres et il y a quelques années, je me suis lancé dans cette démarche artistique : travailler à partir de pierres naturelles, de la pierre sauvage provenant de basse vallée du Lot. De par ma formation initiale, je sais lire et analyser les cartes géologiques. Ces recherches me permettent également de revaloriser la richesse lithique de ces vallées, une richesse qui était uniquement connue de quelques initiés».

Réinterpréter la représentation féminine

Mais ces recherches ne se déroulent pas uniquement sur le terrain : l’inconscient collectif est lui aussi mis à contribution à travers ces formes féminines, archaïques, paléolithiques qu’il fait surgir de la pierre. «Réinterpréter la représentation féminine en ronde-bosse du paléolithique est pour moi une façon de toucher au plus près à la genèse artistique sculpturale de nos latitudes culturelles et plus largement aux arts primitifs qui sont les formes d’expressions artistiques qui me touchent et me parlent le mieux et le plus. L’idée, l’intention que le sculpteur des origines a voulu transmettre et montrer à travers l’image d’une femme aux reliefs généreux ne nous est pas parvenue et reste auréolée de mystère. Il nous reste pour les interpréter la vérité de leur apparence, ce qu’elles nous donnent à voir, dépouillée de concept, laissant le champ libre à notre imagination. C’est avec ce concept que je sculpte, jouant librement avec les formes et ce que suggère cette image féminine, en situant volontairement ces sculptures entre œuvre d’art et objet cultuel, allant au-delà de la simple esthétique, curieux et intrigué de ce que suscitera cette représentation de la femme préhistorique clairement déifiée». Le vernissage de l’exposition se déroulera le 12 septembre à partir de 18 heures, «avec un événement un peu particulier : j’ai créé un lithopone en pierre de la vallée voisine de la Thèze et un ami musicien sera présent pour en jouer en public».À l’exception du vernissage où l’entrée sera gratuite, l’exposition se visite avec le billet d’entrée du château.

«LE CHEMIN NE S’ARRÊTE JAMAIS»

Marie Barrueco, Jean-Louis Costes et Sylvette Lacombe lors du vernissage./Photo DDM repro
Marie Barrueco, Jean-Louis Costes et Sylvette Lacombe lors du vernissage./Photo DDM repro

Samedi dernier, dans les galeries du Château de Fumel, a eu lieu le vernissage de l’exposition des peintures de Marie Barrueco, en présence de Jean-Louis Costes, député-maire de Fumel, ainsi que Sylvette Lacombe, attachée à la culture, d’Odette Langlade, adjointe au maire, et de nombreux invités. Plus de 70 toiles qui regorgent de lumière et débordent de couleurs garnissent les cimaises des galeries : un travail impressionnant, une œuvre solaire qui mérite une visite. Nous avons profité du vernissage pour poser quelques questions à l’artiste.

Comment définiriez-vous votre peinture ?

Étant autodidacte, je suis toujours en éveil, toujours curieuse, toutes les techniques m’intéressent, mon style est certainement un mélange de toutes les influences dont je me suis nourrie depuis 45 ans. Ce qui est intéressant dans l’art, c’est que le chemin ne s’arrête jamais. Il y a toujours à apprendre, toujours à découvrir, toujours à travailler, donc pour moi, c’est une source de plaisir inépuisable.

Vos dernières toiles s’inspirent du vitrail. Comment vous est venue l’idée ?

La peinture a le privilège de conférer de la noblesse à n’importe quel sujet. Le vitrail étant par essence même le lien entre la terre et la lumière, pour peu que l’on sache regarder, n’importe quelle scène du quotidien, selon moi, peut devenir vitrail.

Quels sont vos projets ?

D’abord, je suis impatiente de découvrir ce que va me révéler ma prochaine toile blanche. Le résultat fera bien sûr partie de ma future exposition. D’autre part, en toute humilité, je me sens prête à guider ceux qui le désirent sur le chemin de la peinture. Je vais donc, à partir de cet automne, proposer des stages d’initiation ou de perfectionnement sur un, deux ou trois jours.

L’impression générale qui se dégage de vos œuvres est incontestablement la joie de vivre, la couleur, l’optimisme. Est-ce une volonté délibérée de votre part ?

Question embarrassante. Je répondrai donc par une pirouette en citant Anatole France : «L’artiste doit aimer la vie, et nous montrer qu’elle est belle».

À découvrir dans les galeries du Château de Fumel du lundi au samedi de 10 heures à 12heures et de 14 heures à 18 heures (le dimanche de 10 heures à 12 heures) jusqu’au 20septembre.

Bilan positif pour les «chantiers jeunes»

Jeunes, animateurs et élus se sont retrouvés pour marquer la fin de cette opération « chantiers jeunes » 2015./ Photo DDM repro
Jeunes, animateurs et élus se sont retrouvés pour marquer la fin de cette opération « chantiers jeunes » 2015./ Photo DDM repro

Chaque semaine seize jeunes, répartis en deux groupes de huit, ont participé, avec deux animateurs, à des travaux sur divers chantiers initiés par des communes volontaires membres de «Fumel Communauté». À Monsempron-Libos ils ont aménagé le gymnase «intercommunal» ; àFumel des peintures ont été refaites au Parc des Sports Henri Cavallier ; à Montayral ils ont procédé à la réhabilitation du bourg de Perricard (débroussaillage, peinture…) ; à Lacapelle-Biron ils ont construit un mur en pierres sèches ; à Thézac ils ont débroussaillé et construit également un mur en pierres sèches ; à Sauveterre-la-Lémance ils ont peint la barrière de la gare ; à Tournon ils ont ouvert un chemin de randonnée et enfin ils ont réhabilité des ouvrages d’art pour «Fumel Communauté».

Pour cet été 2015 pas moins de 64 jeunes, au total, ont bénéficié de ces chantiers. Rappelons le principe : le matin, les jeunes travaillent et l’après-midi est consacré à des animations diverses et variées (sportives, culturelles, ludiques…). À l’issue de chacun de ces chantiers, s’ils donnent entière satisfaction, les jeunes volontaires reçoivent un pécule de 80 €.

Vendredi dernier, pour la dernière remise des chèques Madame Millemann, chargée de mission prévention-sécurité à la sous-préfecture de Villeneuve- sur-Lot était présente ainsi qu’Anne-Marie Grimaud en charge du CISPD (Conseil intercommunal de sécurité et de prévention de la délinquance) et Jean-Louis Costes, en tant que président de Fumel Communauté, maître d’œuvre de l’opération.

Galeries du château : Marie Barrueco expose

Marie Barrueco, une artiste peintre qui a retrouvé le pays de son enfance./ Photo DDM M.R.
Marie Barrueco, une artiste peintre qui a retrouvé le pays de son enfance./ Photo DDM M.R.

Marie Barrueco est née à Villeneuve-sur-Lot, puis, à l’âge de douze ans elle a suivi ses parents à Annecy, en Haute Savoie. Lorsqu’elle allait à pied à l’école primaire de Montayral, ou qu’elle traversait le petit bois séparant le «château de Salomon» du village de Perricard, la petite Marie était loin de se douter qu’après un long périple, elle reviendrait habiter sur les lieux de son enfance, et qu’elle consacrerait sa vie à la peinture.

C’est en se promenant dans les vieux quartiers d’Annecy, quelques années plus tard, que le hasard la mit en présence d’un peintre. Cette rencontre se révéla déterminante pour la jeune fille. Ce jour-là, elle sut que ce mode d’expression serait le sien. Elle va peindre… Elle DOIT peindre. Dès lors, cette certitude et cet enthousiasme ne se sont jamais démentis.

En pure autodidacte, elle s’imprègne de tous les styles, ne dédaigne aucune école, sans oublier de copier inlassablement les maîtres qu’elle admire. Cet éclectisme, allié au talent et à un travail acharné, crée une œuvre d’une richesse et d’une diversité peu commune. Chaque toile est pour elle une aventure à part entière avec ce qu’elle comporte de plaisir, de risque et d’inconnu. Les paysages, les fleurs, les personnages que Marie nous décrit avec tant de dextérité, deviennent parfois le point de départ d’autres recherches.

L’artiste nous emmène insensiblement sur des chemins de traverse, ceux-là mêmes qui nous permettent, non pas de quitter, mais d’enrichir la réalité, et ainsi d’entreprendre l’aventure la plus exaltante, celle de la découverte de soi-même.

Vernissage le samedi 22 août 2015 à partir de 10h30. Exposition à découvrir dans les galeries du château de Fumel du 22 août au 6 septembre 2015.

Ouvert du lundi au samedi, de 10 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures, et le dimanche matin de 10 heures à 12 heures.

Exposition dans les galeries du château

Jackie Boullier, chargée de communication et Anne-Marie Delpierre, présidente de « La boulonnerie » /Photo DDM, M.R.
Jackie Boullier, chargée de communication et Anne-Marie Delpierre, présidente de « La boulonnerie » /Photo DDM, M.R.

Dimanche dernier a eu lieu, dans les galeries du château de Fumel, le vernissage de la 5e édition de l’exposition estivale «Proximio» organisée par «La boulonnerie des artistes».

Cette exposition présente l’art d’aujourd’hui, singulier, brut, avec des signatures prestigieuses telles que Rolande Rouard, Jamaray, Anne-Marie Delpierre qui vient de recevoir le prix «Toile d’Or 2015» décerné par le Fédération nationale de la culture française. Des artistes confirmés aux artistes émergents, venus de la région ou de l’étranger, vous présenteront leurs œuvres : toiles, sculptures, photos qui témoignent de la créativité foisonnante et colorée dont cette exposition fait preuve. Vous pourrez y découvrir la performance publique réalisée lors du marché créatif de Bonaguil en mai dernier. À signaler que des visites guidées sont effectuées par les artistes tous les jours à 11 heures et à 16 h 30.

Ouvert tous les jours jusqu’au 16 août, de 10 heures à18 h 30.

L’histoire se rejoue au château de Bonaguil

Publié le 05/07/2015

Manœuvriers, tâcherons et compagnons ; le château de Bonaguil renoue, le temps d’un week-end avec ces métiers dont la tradition existe toujours dans la mémoire collective. Une mémoire bien vivante car tous ces anciens métiers, et bien d’autres encore sont présents aujourd’hui entre Fumel et le château de Bonaguil. «La chaleur qui pèse a peut-être découragé certains, mais le monde arrive doucement» constate Odette Langlade. «Cette année, beaucoup de touristes étrangers sont présents, j’ai même croisé une famille de Nouvelle Zélande».
Les visiteurs se promènent en famille, visitent le château, s’essaient à taille de pierre, à l’arbalète. Les plus jeunes restent bouche bée devant les jongleurs. Autour de bivouac, un cuisinier s’affaire au-dessus d’une marmite, «voilà le repas du soir…, la viande et les légumes doivent mijoter longtemps». La chaleur des braises se rajoute à la chaleur ambiante. Beaucoup se demandent comment les figurants supportent leurs costumes, «il doit vraiment faire très chaud sous ces vêtements», mais c’est le prix à payer pour conserver l’excellence de ces médiévales.
Au programme aujourd’hui :
Fumel
Défilé médiéval à 11 heures (départ de la place du château de Fumel).
Bonaguil
14 h 30 : « C’est quoi le Moyen-Âge ? » avec Antoine Rego (entrée de la Barbacane) ; Les Goliards, musique, danses médiévales et jonglerie (sur l’esplanade).
15 h 30 : Jonglerie avec les Troubadours de Monnet (dans la cour d’honneur) ; Facéties de Zébulus le bouffon royal (sur l’esplanade) ; promenade aux plantes avec Violène (entrée de la barbacane).
16 h 30 : Les Goliards ; combats en lice avec Lo Manaiders, la Malesole et Historia Tolosane (sur l’esplanade).
18 heures : final sur l’esplanade.
Frédéric Pascaud


 

Festival de Bonaguil : les spectacles dévoilés

Frédéric Bernhard et Maryse Sicot ont dévoilé les spectacles proposés par cette édition 2015 du Festival./Photo DDM, M.R.
Frédéric Bernhard et Maryse Sicot ont dévoilé les spectacles proposés par cette édition 2015 du Festival./Photo DDM, M.R.

Vendredi soir, dans la salle de réunion du conseil municipal de Fumel, s’est déroulée la présentation du programme du prochain Festival de Bonaguil. Une présentation à deux voix par Maryse Sicot, présidente de l’association, et Frédéric Bernhard, directeur artistique, devant les élus, les bénévoles et bien sûr les passionnés. Le dicton veut que l’on ne change pas une équipe qui gagne. En ce qui concerne le Festival de Bonaguil, on pourrait l’adapter en disant qu’on ne change pas une formule qui gagne. En effet, les chiffres sont éloquents : l’an dernier, le taux de remplissage pour l’ensemble du Festival a dépassé les 90 % et trois spectacles se sont joués à guichets fermés. Fort logiquement, cette 53e édition sera marquée, comme celles des années précédentes, par la variété des types de spectacles et la volonté évidente d’une ouverture à tous les publics. C’est ainsi que l’on trouvera naturellement au programme des pièces de théâtre mais aussi des spectacles musicaux. «Les voyages fantastiques» font même appel à plusieurs genres de spectacle : cinéma, théâtre, cirque, marionnettes… On peut ajouter que cette programmation se veut également «locale» : Nicolas Briançon, Thomas Boissy et Catherine Delourtet sont des «anciens» Baladins et la compagnie Barber Shop Quartet est originaire de la Gironde.

Location et renseignements : Maison du Festival, place Georges-Escande, à Fumel. Tél. 05 53 71 17 17. Courriel : festivaldebonaguilfumel@gmail.com

Les abonnés peuvent se présenter à partir du 24 juin, de 10 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures. La location générale débutera le 1er juillet aux mêmes horaires.

Spectacles de 21 h 30 : 35 € (sauf «Voyages fantastiques» 25 € et «Spectacle surprise» 30 €). Tarif groupe : — 5 € ; tarif réduit (scolaires, étudiants – 25 ans et demandeurs d’emploi) : — 10 €. Spectacles matinée : «C’est si bon…» 15 €/12 € et «Le Chapoto» 5 €. Abonnements : Pass découverte (sélection de spectacles) 90 €/Pass intégral 150 €.


Demandez le programme !

Voici le programme de cette nouvelle édition :

Samedi 1er août, à 21 h 30, dans les fossés du château de Bonaguil : «Voyages avec ma tante», une comédie de Graham Greene à l’humour très «british». Spectacle tout public à partir de 10 ans. Molière 2015 de la mise en scène réalisée par Nicolas Briançon.

Dimanche 2 août, à 18 h 30, dans la cour d’honneur «C’est si bon quand c’est défendu» de et avec Catherine Delourtet. Un spectacle théâtral et musical tout public. À 21 h 30, dans les fossés, «La Vénus à la fourrure», pièce de théâtre de David Ives, avec Marie Gillain et Nicolas Briançon. Pour tout public à partir de 14 ans. Ce spectacle a remporté deux Molières 2015, celui de la meilleure pièce et celui de la meilleure actrice avec Marie Gillain.

Lundi 3 août, à 21 h 30, dans les fossés, «Barber Shop Quartet» opus 3. Un petit bijou d’humour musical, tout public à partir de 7 ans.

Mardi 4 août, à 21 h 30, dans les fossés, «Cyrano de Bergerac». Chef-d’œuvre d’Edmond Rostand qu’on ne présente plus, avec la compagnie le Grenier de Babouchka. Tout public à partir de 7 ans.

Mercredi 5 août, à 18 h 30, dans la cour d’honneur, «Le chapoto». Spectacle à partir d’objets manipulés de et avec François Duporge. Pour jeune public et familles. À 21 h 30, dans les fossés, «Les voyages fantastiques» de Jules Verne à Mélies par la compagnie les Trottoirs du Hasard. Œuvre multiforme, coup de cœur de cette édition du Festival, qui fait appel à la fois à l’art du théâtre, du cinéma, du cirque, de la magie… Tout public à partir de 7 ans.

Jeudi 6 août, à 16 heures, dans la salle Jean Goujon à Fumel, spectacle de fin de stage et à 21 h 30, dans les fossés, «Incroyables impros». À partir d’éléments suggérés par le public (un thème, une situation, le nom d’un chanteur…) Thomas Boissy invente en direct des paroles pour un spectacle interactif bluffant. Tout public.

Le lyrique s’invite à l’exposition Plurielle

Christian de Grenier, le maire J.-L. Costes et Sylvette Lacombe, déléguée à la culture./ Photo DDM, M. R.
Christian de Grenier, le maire J.-L. Costes et Sylvette Lacombe, déléguée à la culture./ Photo DDM, M. R.

Depuis plusieurs années, nous connaissons l’expo Plurielle qui se tient traditionnellement dans les galeries du château de Fumel. Expo Plurielle car on peut y trouver plusieurs expressions d’art plastique : peinture, sculpture, émaux… Depuis ses débuts, ce rendez-vous annuel sert les mêmes objectifs : favoriser la création, offrir une vitrine aux artistes du Fumélois et d’ailleurs et proposer aux Fumélois un événement culturel qui les amène à s’ouvrir à d’autres horizons. Cette édition 2015 a réussi le tour de force d’être encore plus plurielle que les précédentes en rajoutant un art supplémentaire. En effet, le vernissage de l’exposition elle-même a été précédé d’un miniconcert d’art lyrique. Dans la salle des mariages de la mairie, la soprano Hannah Guo Zhi Min, accompagnée au piano par Fabien Prou, a interprété plusieurs airs du répertoire classique ainsi que deux airs de la musique populaire chinoise, pour le plus grand bonheur de l’auditoire. La présence de cette cantatrice, installée à Monflanquin, était doublement justifiée car non seulement elle chante, ce qui est plutôt normal pour une cantatrice, mais elle est également sculpteuse.  Ensuite, élus, amateurs d’art et artistes ont descendu le grand escalier qui conduit au jardin pour rejoindre les galeries qui, en l’occurrence, méritent deux fois leur nom : galeries architecturales et galeries de peintures. Cette année, le prix de la mairie de Fumel, d’un montant de 100 €, a été attribué à Christian de Grenier pour son tableau «Abstractions». Originaire de Carcassonne, l’artiste habite Condat depuis déjà plusieurs années.

Exposition ouverte jusqu’au 31 mai, dans les galeries du château de Fumel, du lundi au samedi de 15 heures à 19 heures, et le dimanche, de 10 heures à 12 heures et de 15 heures à 19 heures. Entrée gratuite.

Bibliothèque : les contes du mercredi

 

Jean-Pierre Avinent vous en contera de belles… histoires. /Photo DDM.

La bibliothèque de Fumel vous donne rendez-vous mercredi 20 mai, à 15 h 30, en compagnie de Jean-Pierre Avinent pour son spectacle «Buffet de contes de Monsieur Jean-Pierre». Cette animation s’adresse aussi bien aux petits qu’aux grands qui sont invités à venir «déguster» des contes tout en couleurs et en courbes. Des histoires et des images qui s’entremêlent. La couleur qui se prend aux mots, les mots aux pinceaux. Jean-Pierre Avinent (voix, mandoline, tambour, flûte…) sera accompagné par Léa Dingreville (pinceaux, couleurs et autres ustensiles…).Un spectacle familial pour les petites et grandes oreilles. Animation gratuite et ouverte à tous. Pour en connaître un peu plus sur ce conteur qui va accompagner la bibliothèque tout au long de l’année, n’hésitez pas à visiter son site à l’adresse suivante : http ://jeanpierre-avinent-conteur.eklablog.com/

Le parcours du festayre !

Dans quatre jours, le coup d’envoi des fêtes de Nérac sera donné lorsque le maire de Nérac Nicolas Lacombe remettra les clés de la ville au président du comité des fêtes. Quatre jours d’animations, de liesse, de fête et de joie dans les rues de la cité d’Albret. «La Dépêche du Midi» dresse un parcours (non exhautif) des endroits où les festayres pourront se retrouver*.

Bodega fiesta rugby.– L’incontournable des fêtes ! Elle sera comme chaque année place des courses. Sous chapiteau, les joueurs de l’USN attendent les festayres, de jeudi à samedi soir, de 20h à 3h30. La bodega du comité.- Cette année, direction l’espace d’Albret. Du zinc à volonté pour trinquer entre amis, de la musique pour tous les styles et une restauration pour tenir jusqu’au bout de la nuit.

L’escadron volant.- Toute l’équipe dynamique autour de son boss emblématique propose des formules repas pour prolonger la fête autour de l’assiette. Nouveauté : ses tripettes à l’armagnac. ! Un endroit idéal pour admirer le feu d’artifice.

Bodega Nerac Son.– Nouvelle venue dans le tissu festif, «Nerac Son» qui organisera un concert rock en juillet participe à ces fêtes avec sa bodega à la capitainerie avec soirées à thèmes. fiesta…

Le Gambetta.- Entre gastronomie et fêtes, un lieu à apprécier. Des thématiques comme axoa de veau le jeudi soir, tripettes le samedi avec concert des Histoires d’A. Ouvert aussi le dimanche soir.

Au concert.- Première fête pour Bernard Vilatte et son équipe. Apéro concert, animation banda… il y en aura pour tous les gouts et tous les jours !

Discothèque Le Virus.- Située boulevard Darlan, sera ouverte durant trois jours jusqu’à 6h et en mode feria !

* Nous avons mentionné que les établissements qui ont fait la démarche de faire connaître leurs animations.

Le château de Bonaguil vu par Alain Etchepare

Le château de Bonaguil vu par Alain Etchepare
Le château de Bonaguil vu par Alain Etchepare
Alain Etchepare, comme son nom l’indique clairement, est originaire du Pays basque. Dès ses 18 ans, il est tombé sous le charme de l’art photographique. Lors d’une visite à Bonaguil, il y a quelques années, Alain s’est senti tout de suite inspiré par le lieu et il a souhaité le photographier. Les photos exposées dans les salles du donjon ont été prises en 2011 mais n’ont pu, pour diverses raisons, être présentées plus tôt.
«Depuis une dizaine d’années, je me suis libéré des contraintes commerciales et je fais de la photo d’auteur. Dans cette exposition, vous ne trouverez que des photos en noir et blanc. La couleur transmet, pour tout le monde, une vision trop fidèle de la réalité. Pour moi, le noir et blanc est le moyen le plus facile pour s’éloigner de cette réalité et donc faire travailler l’imaginaire de chacun. C’est l’originalité et tout l’intérêt du noir et blanc».
Photos argentiques
Cette exposition est particulière à plus d’un titre : «Toutes les photos ont été prises dans le château ou le village. C’est la première fois que je fais une série de photos sur un même sujet. En outre, ces clichés ont été pris avec de l’argentique et un appareil photo fait sur mesure car je recherchais, par un effet d’optique, un moyen qui donne plus de profondeur à l’image et qui gomme sa périphérie pour y apporter de l’onirique».L’ensemble des photos est sombre comme des dessins au charbon avec toutes les nuances de gris : «C’est aussi un moyen de sortir l’image de sa réalité, de montrer un cliché vieilli par le temps et souligner l’intemporalité du lieu».
L’exposition s’intitule «Ce que racontent les pierres». Quand on demande au photographe pourquoi il a choisi ce titre, la réponse peut surprendre : «Les pierres racontent ce qu’elles veulent. C’est l’imagination des gens qui leur révélera leur discours. Cette exposition n’a certainement pas une approche documentaire». Alain Etchepare a déjà exposé à Paris, Bordeaux, Toulouse, en Italie et même en Croatie où il était invité lors d’un festival de la photographie.
Photographies d’Alain Etchepare dans le donjon du château de Bonaguil, jusqu’au 25 mai.

De notre correspondant local, Michel Rouquet


Pour dynamiser le tourisme sur le territoire
Publié le 14/03/2015
Les accompagnateurs conventionnés avec, au premier plan, Gilles Brignard./ Photo DDM repro
Dans un souci de constitution et d’animation d’un réseau d’accompagnateurs et animateurs conventionnés «Intervenant extérieur» ou en passe de l’être, l’office de tourisme Fumel-Vallée du Lot a organisé une rencontre le mercredi 11 mars à l’amphithéâtre du pôle économique de Fumel Communauté. Parmi les invités on comptait les 38 délégués communaux au tourisme de Fumel Communauté et les 7 accompagnateurs conventionnés. Étaient également présents Silke Mûller, accompagnatrice pour des visites en langue néerlandaise de la Gabarre Fuméloise, ou de la Machine de Watt ; Daniel Loisy, représentant de l’association des Amis du Prieuré et accompagnateur pour des visites des jardins et du Prieuré de Monsempron, des visites botaniques ; Frédéric Martinez, comédien de rue et accompagnateur de visites théâtralisées sur Sauveterre, Fumel Gare ; Eric Leurent, conteur et accompagnateur de visites contées et musicales sur Blanquefort, Bonaguil ; Jean-Jacques Klein, délégué au tourisme de Saint-Front-sur-Lémance. L’office de tourisme a pu décrire l’ensemble des compétences et outils qu’il met à la disposition des accompagnateurs pour soutenir le développement de leur activité économique : conception de visite, stratégie marketing, animation numérique de la promotion, gestion des réservations et de billetterie, etc.Gilles Brignard a pu préciser à chacun que l’OT assure ici sa mission de développement de l’activité économique touristique sur le territoire. Ainsi, le conventionnement prend soin de ne pas mettre en concurrence les accompagnateurs, mais bien de travailler sur leur complémentarité.
Mise en relation
Un des objectifs de l’OT étant d’aider les entrepreneurs accompagnateurs à atteindre un volume d’affaires qui leur permettra de rester sur notre territoire, en exerçant cette activité d’accompagnement. Cette réunion a permis une mise en relation directe des différents intervenants ; ce qui a généré des échanges spontanés, voire des pistes de collaboration (visites accompagnées dans les bois de notre territoire).

La Dépêche du Midi


 

 

 

Opération «Punk sur la ville»

«Les Ablettes» un groupe 100 % fumélois qui a connu un certain succès dans les années 80./Photo DDM repro
Dans le cadre de l’exposition «Punk sur la ville» du 7 au 18 avril, à la bibliothèque de Fumel, les organisateurs vous rappellent que vous avez jusqu’au 30 mars pour venir déposer tout objet personnel dont vous disposez en relation avec cette thématique. Pour information, il s’agit d’une exposition sur ce mouvement musical qui avait fait de Fumel sa capitale. Depuis le mois de septembre, la bibliothèque a donc mis en place une collecte locale d’affiches, vinyles, flyers, fanzines et autres pour la réaliser. Matériel qui vous sera restitué au terme de l’exposition. Des livres sur l’histoire du Punk seront également disponibles au catalogue de la bibliothèque. Vous pouvez d’ores et déjà en avoir un aperçu en visitant son site à l’adresse suivante : http ://fumel.opac3d.fr Pour enrichir ce projet «Punk sur la ville», la bibliothèque s’est dotée de partenaires en la personne du cinéma Liberty et du Pavillon 108 pour la réalisation d’une programmation commune dont voici le détail : exposition «Punk sur la ville» du 7 au 18 avril à la bibliothèque, projection du documentaire «East Punk Memories», vendredi 10 avril, au cinéma Liberty, et concert punk au Pavillon 108, le samedi 11 avril, avec Serpette (Cahors), La Guêpe écrasée (Fumel), The Dead Krazukies (Hossegor) et Dirty Fonzy (Albi). Vous pouvez donc encore participer à ce projet en venant déposer à la bibliothèque vos souvenirs et surtout les faire partager à tout le monde. Quinze jours de punk/rock à consommer sans modération !
Pour tous renseignements, vous pouvez contacter la bibliothèque de Fumel au numéro suivant 05 53 49 59 73 ou par mail bibliotheque-municipale-fumel@orange.fr Bibliothèque municipale de Fumel – Place du Château – 47 500 Fumel.

La Dépêche du Midi


Music’All présente «Mystère Bohème»

Publié le 07/03/2015

 

 

 

 

La comédie musicale «Mystère Bohème» sera jouée les 11 et 12 avril, au centre culturel de Fumel.
L’association Music’All présentera son spectacle «Mystère Bohème», le samedi 11 avril prochain, à 21 heures, au centre culturel de Fumel. Une comédie musicale pleine de rebondissements, dont l’intrigue se déroulera au cœur d’un camp gitan. Entrée, 10 €; gratuit pour les moins de 10 ans.
L’association Music’All jouera les prolongations le dimanche 12 avril prochain, cette fois à 15 heures, toujours au centre culturel de Fumel, pour ceux qui n’auraient pas pu venir le samedi. Et comme l’association le fait depuis trois ans, les personnes défavorisées, démunies, les œuvres sociales, les personnes handicapées (places prévues pour les fauteuils roulants), en groupe ou seules bénéficieront d’un tarif de 5 €. Pour tous renseignements, tél. 05 53 40 83 37 ou 06 70 12 12 17.

La Dépêche du Midi


Les cafés Alzheimer aident les familles

Publié le 27/02/2015

 

 

 

 

Ces cafés Alzheimer permettent d’apporter des informations aux malades et aux familles./ Photo DDM repro
Très souvent, les familles dont un membre est frappé par la maladie d’Alzheimer se sentent dépourvues face à la situation. Les cafés Alzheimer organisés par le centre hospitalier deFumel veulent leur venir en aide.
Ainsi, dernièrement, se sont réunis, sous la bienveillance de M. Collier, président de l’association France Alzheimer 47, plusieurs membres des familles, des personnes extérieures à l’établissement, d’Alliance 47 et l’équipe pluridisciplinaire du centre hospitalier de Fumel afin d’échanger une nouvelle fois autour d’un café mémoire Alzheimer. Cette après-midi se voulait simple et conviviale afin de pouvoir communiquer à nouveau sur le thème de la maladie d’Alzheimer. Quelle est-elle ? En effet, les thèmes abordés lors des séances sont ceux déclinés par l’assemblée à la fin de chaque rencontre. M. Collier a développé en introduction le rôle essentiel de France Alzheimer 47 qui œuvre pour accompagner, orienter, ou plus simplement écouter les personnes qui vivent avec un proche touché par la maladie ou celles qui en souffrent. Dans le cadre de la formation, les aidants peuvent bénéficier d’un encadrement par des professionnels de terrain, afin de transmettre des leviers dans la prise en soin de ces malades. L’équipe pluridisciplinaire du centre hospitalier a ensuite développé les origines de la maladie, ainsi que la variété de son expression selon les stades de la pathologie. Chaque participant a ensuite exprimé avec authenticité le vécu au quotidien de cette maladie et le soulagement de pouvoir en parler aujourd’hui librement. Nous tenons à remercier tous les participants de ce café mémoire Alzheimer venus nombreux et nous vous informons qu’une nouvelle après-midi de discussion ouverte aux Fumélois et à l’ensemble des familles se déroulera dans le courant du premier trimestre 2015.
Renseignements : Dominique Zamo au 05 53 40 54 00.

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Ludothèque : on a fêté carnaval

Publié le 02/03/2015

 

 

 

 

L’occasion pour enfants et adultes de se déguiser en personnages de légende./ Photo DDM, M. R.
Le mercredi 18 février, la ludothèque fêtait, comme c’est désormais la tradition, le carnaval. Traditionnellement, dans le christianisme, le carnaval marque la dernière occasion de célébration des aliments gras et autres avant le début du carême.Pour l’occasion, parents, enfants et nounous s’étaient déguisés en princesses, chevaliers, superhéros, clowns, cow-boys, indiennes… Tous étaient ravis de se retrouver pour jouer et passer ensemble de bons moments.Le matin et l’après-midi, les participants ont partagé un goûter offert par la ludothèque et par les mamans et papas qui pour l’occasion s’étaient transformés en pâtissiers.

La Dépêche du Midi


«Le Grand Show des petites choses» en exposition

Publié le 01/03/2015

 

 

 

 

Gilbert Legrand ou l’art du détournement humoristique./Photo DDM repro
Du 3 au 27 mars, la bibliothèque de Fumel accueillera l’exposition «Le Grand Show des petites choses» de Gilbert Legrand. Designer, peintre, sculpteur, Gilbert Legrand réalise des illustrations en volume, en détournant les objets du quotidien en personnages poétiques et humoristiques. Né en région parisienne, il vit et travaille à Toulouse depuis vingt ans. Après cinq ans en agence, il devient, au début des années 80, un illustrateur pour l’édition et la publicité. Actuellement, il se partage entre deux activités : la pratique de l’infographie pour les travaux de commandes (création de personnages, couvertures de livres, montages numériques) et la réalisation d’illustrations en volume ayant pour point de départ des objets du quotidien détournés en personnages. «Le Grand Show des petites choses» ou comment des objets et outils du quotidien deviennent des personnages drôles et tendres qui prêtent à sourire et pour certains d’entre eux à rire franchement. Objets et photos intrigueront petits et grands qui auront parfois bien du mal à entrevoir l’objet sous le personnage ! Il s’agit également d’un projet pédagogique. Tous les ans et en partenariat avec l’Éducation nationale, Jacinthe Afonso, médiatrice du livre auprès des scolaires de la bibliothèque de Fumel, propose aux enseignants de travailler autour d’un thème, d’un auteur, d’une œuvre etc. L’an dernier, le thème du cirque avait été retenu et l’aventure s’était clôturée pour les élèves sous le chapiteau de cirque Medrano.  Cette année, élèves et enseignants s’intéressent donc au thème du détournement d’objet et de l’artiste Gilbert Legrand.  Une trentaine de classes va venir découvrir l’exposition et travailler autour du détournement d’objet en classe et à la bibliothèque. Les œuvres des élèves seront ensuite exposées dans les galeries du château de Fumel début juin.
Entrée gratuite aux heures d’ouverture de la bibliothèque.

La Dépêche du Midi


Demain, tous au «Bal des Barbillons»

Publié le 19/02/2015

 

 

 

 

Un bal-concert auquel participent activement les enfants. /Photo DDM repro
Ce sont les vacances, et Fumel Communauté vous propose d’assister et de participer à un bal festif gratuit et ouvert à tous : des grands-parents aux frères et sœurs en passant par les copains et même Albert le poisson rouge. Chacun sera le bienvenu ! Au programme de cette soirée : les musiques entraînantes aux accents ensoleillés des Barbeaux. Ce groupe d’amis venu des bords de la Méditerranée respire la joie de vivre et offre à nos oreilles des histoires mêlant humour et musique généreuse. Mais attention «Le Bal des Barbillons» nous réserve quelques surprises ! Pendant une semaine, une trentaine d’enfants des centres de loisirs du territoire se seront préparés, en compagnie des Barbeaux, à écrire leurs propres chansons. Les Barbillons, bouches grandes ouvertes et yeux pétillants, seront présents pour chanter avec les Barbeaux, et nous entraîneront dans leur créativité et leur imagination d’enfants. Alors… tous au bal ! Pour inscrire votre enfant (de 8 à 12 ans) aux ateliers des vacances de février qui vont permettre la création de ce spectacle, contactez les centres de loisirs de Fumel Communauté. «Le Bal des Barbillons» est un concert-bal gratuit et festif à apprécier en famille, dès 4 ans, avec les Barbeaux, ce vendredi 20 février, à 20h30, au centre culturel Paul-Mauvezin de Fumel. Réservations à l’office de tourisme Fumel Vallée du Lot : 05 53 71 13 70 www.spectacles-fumelcommunaute.com

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 Récompenses pour les maisons fleuries

Publié le 11/02/2015

 

 

 

 

Lauréats et élus réunis pour la photo souvenir./Photo DDM, M. R.
Samedi dernier, la salle de réunion du conseil municipal de Fumel accueillait les lauréats du concours des maisons fleuries. Étaient naturellement présents de nombreux élus, dont Jean-Pierre Mouly, premier adjoint, et Guylène Matias, qui commençait la cérémonie par ces quelques mots : «Merci à vous, merci à toutes les personnes qui en embellissant leur maison embellissent également le cadre de vie de tous les habitants et contribuent aussi à donner aux touristes une image accueillante de notre ville. Il convient de rappeler que la commune de Fumel a remporté le 2e prix du concours des villes et villages fleuris organisé par le conseil général».
Chacun des lauréats a ensuite reçu un diplôme et une plante d’ornement, avec un chèque de 30 €. Les trois premiers prix étant crédités d’un chèque de 60 €.
À l’issue de la cérémonie tout le monde se retrouvait pour partager une activité éminemment conviviale : boire ensemble le verre de l’amitié.
Voici le palmarès : les 3 premiers prix pour Monique Rebois, Serge Mouly et Pierre Guiberteau.
Une mention spéciale d’encouragement pour Marie-Angèle Alonso, Maria De Moura et Gracinda Ferreira. Les autres lauréats sont : Jeannettte Abad, Pilar Arcis, Gilles Bagattin, Jeanine Balaguer, Yves Boullot, Claudette Brouillaud, Christine Campi, Céline Campi, Mme Chaume, Marie Coassin, Annie Cortès, Juçinda Cortès, Jacqueline Delmouly, Micheline Delmouly, Hadjima Dubocage, Francine Dubreuil, Denise Escafignoux, Arlette Gilo, Aline Giraudeau, Deolinda Guedès, Christian Jalady, Jacqueline Lamoureux, Angèle Lavergne, Antoinette Lespinasse, Martine Longuet, Francine Mahy, Joséphine Marchetti, Herminia Monteiro, Paulette Olivan, Christiane Pavan, Jean-Pierre Rabut, Irène Ribeiro, Jeanne-Marie Soleo, Christiane Souverville, Bernard Tison et Laurinda Viera.

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Pavillon 108 : Du hip-hop au programme

Publié le 10/02/2015

 

 

 

 

Gavlyn et Oh Blimey, accompagnées du Dj Mike Steez, seront au Pavillon 108 le samedi 14 février. /Photo DDM repro
Ce samedi 14 février l’association After/Before vous propose un concert, à 21 heures, au Pavillon 108 à Fumel. Au programme de la soirée vous trouverez deux groupes de hip-hop Gavlyn, Oh Blimey & Dj Mike Steez (hip-hop/USA) et MP1POINT2 (Toulouse).   Gavlyn, Oh Blimey & Dj Mike Steez (hip-hop/USA) 23 ans au compteur, Gavlyn a réussi en quelques années, à se faire une place de choix sur la scène hip-hop US et ne cesse d’affoler les compteurs sur les réseaux sociaux. Le flow de la Californienne transpire le cool de la côte Ouest, les beats sont ultra-soignés et ses performances scéniques terribles ! Adepte du son des 90’s, elle semble avoir déjà digéré toute cette culture, dont elle n’a pas vécu l’âge d’or. Sur son 3e album, elle se renouvelle sur chaque morceau et démontre les différentes facettes de son flow. Elle revient en France pour une nouvelle tournée européenne, accompagnée de la sulfureuse rappeuse Oh Blimey et de son DJ. Difficile de penser que vous n’allez pas tomber sous le charme…Résolument hip-hop groove, MP1point2 fusionne rap, chanson, musique festive et son électronique. Grâce à un sens aigu de la formule et des beats percutants, ils réinventent joyeusement les frontières du Hip-hop. Entre IAM et Java, leur musique, entièrement jouée en live sur machines, porte des textes affûtés et une énergie débordante. Sur scène le groupe révèle toute sa puissance. Les images sont sonores, le décor est musical et l’ambiance est chaleureuse. Le quatuor y chante la société, le monde, les gens, ses coups de cœur et ses coups de gueule.Un spectacle véritablement original, pour faire danser autant que réfléchir.
Ce samedi 14 février, à 21 heures, au Pavillon 108, rue Léon-Jouhaux, à Fumel. Ouverture des portes 20 h 30.
Entrée : 7/10 €.

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Concert hip-hop au Pavillon 108

Publié le 03/02/2015

 

 

 

 

MP 1 point 2 en concert au Pavillon 108 le 14 février.
Un concert hip-hop est organisé au Pavillon 108, le samedi 14 février, à partir de 20 h 30.Au programme de la soirée : Gavlyn, Oh Blimey & Dj Mike Steez (hip-hop/USA) et MP1 point 2.  23 ans au compteur, Gavlyn a réussi en quelques années à se faire une place de choix sur la scène hip-hop US et ne cesse d’affoler les compteurs sur les réseaux sociaux. Le flow de la Californienne transpire le cool de la côte ouest, les beats sont ultra-soignés et ses performances scéniques terribles ! Adepte du son des 90’s, elle semble avoir déjà digéré toute cette culture, dont elle n’a pas vécu l’âge d’or. Sur son 3e album, elle se renouvelle sur chaque morceau et démontre les différentes facettes de son flow. Elle revient en France pour une nouvelle tournée européenne, accompagnée de la sulfureuse rappeuse Oh Blimey et de son DJ. Difficile de penser que vous n’allez pas tomber sous le charme…
Résolument hip-hop groove, MP1 point 2 fusionne rap, chanson, musique festive et son électronique. Grâce à un sens aigu de la formule et des beats percutants, ils réinventent joyeusement les frontières du hip-hop. Entre IAM et Java leur musique, entièrement jouée en live sur machines, porte des textes affûtés et une énergie débordante. Sur scène, le groupe révèle toute sa puissance. Les images sont sonores, le décor est musical et l’ambiance est chaleureuse. Le quatuor y chante la société, le monde, les gens, ses coups de cœur et ses coups de gueule. Un spectacle véritablement original, pour faire danser autant que réfléchir…
Entrée : 7€ et 10€.

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Ambiance familiale pour les vœux au personnel municipal

Publié le 26/01/2015

 

 

 

 

Tous les membres de la grande famille municipale étaient réunis pour cette cérémonie des vœux./Photo DDM MR
Vendredi soir, près d’une centaine de personnes se sont retrouvées dans la salle de réunion du conseil municipal de Fumel pour assister à la traditionnelle cérémonie des vœux des élus aux employés de la commune. Étaient naturellement présents les personnels municipaux, accompagnés de leur conjoint ou conjointe, mais aussi les retraités et, bien sûr, les conseillers municipaux majorité et opposition réunis.
Comme le veut la coutume, c’est la directrice générale des services, Marie-Claire Crayssac, qui a tout d’abord pris la parole : «Pour commencer je tiens à remercier chaleureusement tous ceux qui ont participé à la mise en place des TAP (Temps d’activités périscolaires) qui est une réussite Dans les circonstances difficiles que nous connaissons depuis quelques jours je crois qu’il nous faut faire preuve de solidarité à tous les niveaux. En travaillant au cœur de la commune, comme vous le faites, on joue un rôle important car on contribue à améliorer la qualité de vie de tous Avant les événements tragiques que nous avons connus je vous aurais peut-être parlé de contraintes budgétaires, par exemple, mais il est évident qu’il y a des choses qui priment sur d’autres.»
Le maire de la commune, Jean-Louis Costes, lui succédait au micro : «Mes meilleurs vœux à tous pour cette nouvelle année et avant tout des vœux de santé pour vous et les membres de votre famille. Je remercie Mme la directrice générale des services pour son efficacité et sa loyauté. Depuis déjà plusieurs années nous gérons le budget municipal avec rigueur. Nous sommes donc dans une situation correcte mais il nous faut encore diminuer nos dépenses de fonctionnement, notamment au niveau des fluides, électricité, eau, fioul Je suis fier de vous avoir à nos côtés pour œuvrer dans l’intérêt de nos concitoyens. Merci à vous et merci à l’équipe municipale qui m’entoure».
Venait alors le moment de partager, en famille, le pot de l’amitié.

De notre correspondant Michel Rouquet


Des vœux sous le signe de la rigueur
Publié le 20/01/2015

 

 

 

 

Yohan Mougenot, D. Borie, J.-L. Costes, C. Brandolin-Robert, J.-J. Brouillet et E. Grasset./ Photo DDM MR
Jeudi soir, la salle de la Pergola, à Libos, a servi de cadre à la traditionnelle cérémonie itinérante des vœux de Fumel Communauté. Étaient présents Yohan Mougenot, sous-préfet de Villeneuve-sur-Lot, les élus membres du conseil communautaire, des représentants du personnel et de la population du territoire.
Comme il est de coutume, la première à prendre la parole fut la directrice générale des services, Clémence Brandolin-Robert, en poste depuis le mois de juin dernier : «Au cours de l’année écoulée, nous avons connu beaucoup de nouveautés ; nouvelle assemblée suite aux élections municipales, nouvel exécutif et surtout de nouvelles contraintes budgétaires (…) Merci à tous mes collègues de Fumel Communauté pour le travail effectué au service de la population. Pour cette année et les suivantes, il faudra mettre en place de nouvelles techniques de fonctionnement pour relever les défis qui s’annoncent.»
Le président Jean-Louis Costes lui succédait : «J’ai tout d’abord une pensée pour toutes les victimes des attentats de Paris (…). Aujourd’hui les communautés de communes sont mises au régime sec. Les ressources fiscales, qui représentent 60 % du total, sont en baisse en raison de la situation économique et les 40 % restant, les dotations de l’Etat, ont diminué de 30 % en 2 ans. Notre budget de fonctionnement va donc baisser de 15 % car je me refuse à augmenter la fiscalité (…) Deux entreprises emblématiques du territoire sont en difficulté : MetalTemple et Tarkett qui a fermé à la fin de l’année. Il n’y a pas de repreneur dans le domaine du parquet mais il existe un projet de reconversion du site qui sera peut-être divisé en plusieurs pôles d’activités. MetalTemple pourrait être repris par l’actuel propriétaire. (…) 2 015 sera encore plus difficile que 2 014 mais avec l’ensemble des maires nous saurons relever ce défi dans l’intérêt des administrés du territoire.»
Le pot de l‘amitié qui venait conclure cette cérémonie fut musicalement animé par un talentueux quatuor de l‘école des arts, composé d’un batteur et de trois filles à la guitare et au chant, sous la bienveillante autorité de Fred Fernandez.

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Mécénat pour un pont-levis à Bonaguil

Publié le 21/12/2014

 

 

 

 

Une remise du chèque pour que Bonaguil retrouve son pont-levis./Photo DDM.
En présence de Jean-Louis Costes, maire de Fumel, Député de Lot-et-Garonne, Christine Campi, présidente du conseil d’administration du Fond d’initiative du Crédit agricole, Gérard Legros, président des Amis de Bonaguil et Patrick Groleau directeur de l’agence Crédit agricole de Fumel.
Des 7 ponts-levis que comptait la forteresse de Bonaguil, il n’en reste aucun. Dans des éditions précédentes nous avons eu l’occasion de vous parler plusieurs fois d’un projet ambitieux : restituer au château le pont-levis de la cour des loges. Depuis plus d’un an, l’équipe du château travaille en étroite collaboration avec les élèves et les enseignants du collège Crochepierre et du lycée professionnel Couffignal de Villeneuve-sur-Lot pour réaliser ce projet.
43000€
Pour boucler le budget d’un coût total d’environ 43 000 € HT, l’association des «Amis de Bonaguil» a lancé un appel à générosité afin de finaliser le projet. Et c’est aujourd’hui que Patrick Groleau vient remettre le chèque de 8 000 € permettant d’apporter sa contribution à la finalisation du projet ; «Je suis très fier pour cette participation à ce beau projet de restitution d’un des 7 ponts-levis du Château de Bonaguil» dit-il.Christine Campi, a aussi exprimé sa fierté de voir la banque marquer son empreinte dans le patrimoine local. Gérard Legros, a remercié chaleureusement les généreux mécènes et a précisé que les travaux ont commencé sur le site.
Jean-Louis Costes, après avoir rappelé l’important et nécessaire budget investit tous les ans pour Bonaguil a précisé que le château avait encore besoin de gros travaux. Puis il a remis à Christine Campi et Patrick Groleau un certificat de Mécène ainsi que 2 Pass VIP afin de leur témoigner sa profonde gratitude et ses remerciements pour leur contribution à la restitution d’un pont-levis au Château de Bonaguil. La réunion s’est terminée autour d’un apéritif convivial.

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Les enfants ont participé aux décorations de Noël

Publié le 08/12/2014

 

 

 

 

Il a déjà neigé sous les arcades du château de Fumel./Photo DDM.
À l’occasion des fêtes de fin d’année, les enfants des écoles primaires de Fumel ont fabriqué, dans le cadre des temps d’accueil périscolaire, des pompons blancs pour décorer la ville. Ils ont été accrochés dans les grands sapins installés par la mairie sur la placette à côté du Royalty, à Condat et place Voltaire. Afin d’aider à la préparation des matériaux et à l’encadrement de ces ateliers, et dans le but de créer des échanges intergénérationnels, le CCAS a proposé à certains de ses usagers, au club des 3 Vallées et à l’hôpital de Fumel de s’associer au projet une excellente occasion pour rapprocher les générations. Allez découvrir toute la magie de Noël sous les arcades du château. Tous les ans, les agents du service technique de la ville et les élus mettent leurs efforts en commun pour offrir un lieu magique sous les arcades du château de Fumel. Au bout d’un sentier bordé par la forêt et ses bêtes sauvages, les visiteurs découvrent la maison du Père Noël. Juste à côté, les enfants peuvent poster dans la boîte aux lettres du Père Noël leur lettre. Il leur répondra ! (Ne pas oublier d’indiquer le nom, le prénom et l’adresse complète de l’enfant dans le courrier. Ne pas timbrer).

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Plein d’animations en attendant Noël

Publié le 04/12/2014

 

 

 

 

Pour les fêtes de fin d’année, les galeries du château sont, cette année encore, richement décorées./Photo DDM
Depuis le mercredi 3 décembre, petits et grands peuvent venir visiter les décors de Noël sous les arcades du château de Fumel et poster leur lettre au Père Noël. Les décors de Noël seront en place jusqu’à début janvier 2015.Le samedi 13 décembre, à 18 heures, salle Jean-Goujon et sur la place du Château aura lieu le Noël des enfants. De nombreuses activités gratuites leur s sont proposées : poneys, manèges, structures gonflables, travaux manuels, ludothèque, kapla, céramique… Ils pourront ainsi croiser l’homme en «rouge et blanc» et ses amis le lapin, l’ours ou le bonhomme de neige. À la tombée de la nuit, ils pourront prendre part au défilé aux lampions dans la ville avant d’admirer le feu d’artifice tiré des terrasses du château.
Les 13 et 14 décembre, place du Château à Fumel, le marché de Noël ouvre ses portes le temps d’un week-end. Artisans et commerçants proposent leurs idées cadeaux et leurs friandises : bijoux fantaisie, textile, chocolats…
Les 16 et 18 décembre, les élèves des écoles maternelles et primaires de Fumel sont invités à la mairie pour profiter d’un spectacle de magie et d’un goûter, offerts par la mairie de Fumel.
Le mercredi 17 décembre, la bibliothèque de Fumel propose une animation gratuite, «Contes de Noël», à partir de 15 h 30 avec Catherine Bohl.
Enfin le lundi 22 décembre, au château de Bonaguil, à 17 heures, Isabelle Terrières racontera aux enfants (à partir de 6 ans) des contes d’hiver. L’animation sera suivie d’un goûter offert par la mairie de Fumel. Gratuit, limité à 50 personnes.
Réservation conseillée au 05 53 41 90 71.

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Un «P’tit-dej lecture» à la bibliothèque

Publié le 01/12/2014

 

 

 

 

Un moment de complicité entre enfants et adultes./Photo DDM, repro
Les «P’tits-dej lecture» entament leur saison 3. Cette animation propose à un groupe de bénévoles de lire des albums pour les enfants à partir de 4 ans sous la conduite de la conteuse Isabelle Terrières.
Trois rendez-vous publics sont prévus dans l’année avec, en amont de chaque matinée, deux séances de préparation à la lecture à voix haute. Si vous désirez participer, rien de plus facile : il suffit de s’inscrire auprès du personnel de la bibliothèque. Tout cela bien sûr dans une ambiance chaleureuse et conviviale.Il s’agit d’une animation gratuite et ouverte à tous.
À la bibliothèque de Fumel ce samedi 6 décembre à 11 heures.Renseignements : tél. 05 53 49 59 73

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Marionnettes et opéra au centre culturel

Publié le 19/11/2014

 

 

 

 

Marionnettes et opéra au centre culturel

Aujourd’hui mercredi 19 novembre, à 14 h 30, au centre culturel, sera donné «Opéra Vinyl», spectacle pour tous à partir de 3 ans, qui allie jeux de marionnettes et airs d’opéra. Un marionnettiste placé devant cinq platines, véritable DJ, orchestre les éléments de décor, la musique, les personnages. «Il est 6 heures du matin, un petit air frais s’échappe d’une maison, c’est un chant clair qui nous ravit… C’est l’histoire d’une voix qui se perd, l’histoire des mots qui nous échappent, une histoire d’amour avec un grand A entre une diva et un barbier, le tout sur des airs de Rossini, Verdi, Mozart…».

Billetterie à l’office de tourisme Fumel-vallée du Lot : tél. 05 53 71 13 70. Tarifs de 4 à 9 €; forfait famille, 18 €.

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Mairie de Fumel